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Les cheveux gris des femmes professionnelles sont le facteur le plus récent qui doit être ajouté à l’équation #diversitééquitéinclusion.
Je me souviens avoir pris cette photo lorsque ma coiffeuse m’a suggéré de séparer mes cheveux pour montrer ma mèche grise naturelle, qu’elle trouvait belle et qui méritait d’être montrée.
J’ai décidé de ne pas montrer ma mèche grise. J’étais en pleine transition professionnelle et je dois avouer que je craignais l’âgisme.
Changer la couleur des cheveux figurait parmi les nombreux conseils que j’ai trouvés dans les documents destinés aux demandeurs d’emploi de plus de 50 ans.
La journaliste de télévision canadienne et lauréate de prix Lisa Laflamme #lisalaflamme a choisi d’accepter avec grâce l’évolution de sa beauté, ce qui inclut le changement naturel de la couleur de ses cheveux. Elle a été licenciée à cause de cela.
Ce que je retiens : malgré tous les discours sur la diversité et l’inclusion et tout le progrès que les femmes ont accompli sur le plan professionnel, la vérité est qu’il existe de nombreux endroits où le fait de se conformer à une image basée sur les stéréotypes de beauté de la société détermine si les femmes et les minorités visibles réussissent ou échouent.
Avons-nous vraiment parcouru un long chemin sur la voie de la diversité et de l’inclusion, pour finalement découvrir qu’il y a encore beaucoup de travail à faire ?
#diversité #equité #inclusion
Voir le tableau d’ensemble. Cibler les éléments importants.
theBIGpicture Camille 
One thought on “Ajouter l’âgisme à l’équation diversité, équité et inclusion (DEI)”
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